L'erreur quadratique moyenne de validation croisée(RMSECV) par la méthode LOO (Leave One Out) était de 1,97 g de CO par kg de sol. La teneur en CO a ensuite été estimée par régression des moindres carrés partiels(PLSR) à partir des mesures spectrales sur les 23 placettes. Les Robtenus, entre 0,8 et 0,9 selon les bandes, ainsi que l'erreur comprise entre 1 et 3% en réflectance, ont montrés lafiabilité du capteur multiSPEC 4C®. Les spectres de terrain ont été agrégés sur les bandes spectrales de2la multiSPEC® 4C afin de valider par régression linéaire la qualité des données de réflectance du drone. Les images obtenues d'une résolution de 15cm ont étégéoréférencées avec une précision infra-pixellaire. Le drone AIRINOV® utilisé était équipé de la caméramultispectrale quadri-bande multiSPEC 4C® (550nm, 660nm, 735 nm et 790 nm) et évoluait à une altitude de 150 m.Vingt-trois placettes de contrôle au sol, réparties dans la parcelle, ont été délimitées par des cibles géolocaliséescentimétriquement par DGPS et ont fait l'objet de mesures synchrones au vol drone : mesures spectrales de terrain(ASD FieldSpec 3®), mesures de rugosité par une méthode photogrammétrique, prélèvements d'échantillons de solpour analyse de la composition chimique et de la teneur en eau. Une parcelle agricole de 13 ha « la Grande Borne », située dans la plaine de Versailles (78), a été suivie en avril2013, peu avant le semis alors qu'elle était encore en sol nu. Cette étude propose une méthode de prédiction spatialisée du CO des sols, à partir d'imageriedrone. Les mesures de réflectance ont déjàété utilisées avec succès pour prédire la teneur en carbone organique (CO) des sols agricoles, soit au laboratoire surdes échantillons de sols séchés, soit directement au champ à l'aide de spectro-radiomètres de terrain ou grâce à desimages satellitaires. La matière organique (MO) est un élément important de la fertilité des sols cultivés. A bulk diffusivity coefficient estimated in the deep Banda Sea yields 1.6 × 10−3 ± 5 × 10−4 m2 s−1, with an associated downward turbulent heat flux of 9 W m−2. Mixing in the Lifamatola Passage results in 0.6–1.2-Sv (1 Sv ≡ 106 m3 s−1) entrainment transport added to the overflow, enhancing the deep-water renewal in the Banda Sea. Strong mixing is found immediately downstream of the sill crest, with Thorpe-scale-based estimates of the mean dissipation rate within the overflow up to 1.1 × 10−7 W kg−1 and the region-averaged diapycnal diffusivity within the downstream overflow in the range of 2.3 × 10−3 to 10.1 × 10−3 m2 s−1. Analyses also suggest that deep signals within the overflow layer are blocked by the shear flow from propagating upstream, whereas the shallow wave modes of the full-depth continuously stratified flow are able to propagate upstream from the Banda Sea into the Maluku Sea. Our assessment suggests that the weir formulas corresponding to a rectangular, triangular, or parabolic cross section all result in transports very close to the observation, suggesting their potential usage in long-term monitoring of the overflow transport or parameterizing the transport in numerical models. The observations suggest that the mean overflow is nearly critical at the mooring site, suggesting that a weir formula may be appropriate for estimating the overflow transport. AbstractHydrographic measurements recently acquired along the thalweg of the Lifamatola Passage combined with historical moored velocity measurements immediately downstream of the sill are used to study the hydraulics, transport, mixing, and entrainment in the dense overflow.

Multispec 4c 1.1